aucun minimum de ligne // 5 ans d'écart sont autorisés entre l'avatar choisi et le personnage // 3 jours pour poster votre fiche ou un premier message le guide du nouveauposter en zone invité
03.03.2021 mise en place d'une nouvelle version réalisée par dies irae23.10.2020 mise en place d'une nouvelle version réalisée par dies irae spéciale halloween, et anymist rejoint le staff 25.08.2020 MS fête son septième mois et emma (lennox) rejoint le staff. 27.07.2020 MS fête un nouveau mois à vos côtés. 27.06.2020 MS fête avec vous un nouveau à vos côtés et la mise en place de la version 4 signée dies irae. 25.04.2020 MS fête avec vous son troisième mois d'activité et la mise en place de la version 3 signée dies irae. 21.03.2020 mise en place de la version 2 signée dies irae24.02.2020 MS fête son premier mois ! 24.01.2020 ouverture officielle du forum 22.01.2020 pré-ouverture de MS avec une version signée dies irae
lieu de naissance :: New-York origines :: Russes, malgré une nationalité américaine âge :: 39 ans orientation sexuelle :: Bisexuel statut civil :: Célibataire emploi :: Avocat, conseiller de Kazimir groupe :: made me believer traits de caractère :: Rusé ; Séducteur ; Charmant ; Amical ; Manipulateur ; Infidèle ; Populaire ; Calculateur ; Secret ; Jaloux ; Rancunier ; groupement :: Mafia rouge association ou unité :: Sovietnik
🗲 anecdotes
En bref Né à NYC de parents russes ayant fui le pays - Bosseur, sérieux, devenu avocat en passant par Harvard - Séducteur, ne se case jamais et continue de collectionner les aventures sans lendemain - Joue beaucoup, perd de l'argent et se retrouve enchaîné à la Bratva, en route pour Minneapolis - Homme de confiance, avocat sans pareil pour trouver des cartes "sortie de prison", grimpe dans les rangs - Ne supporte pas le fait que Gleb ait été trahi par son frère, fera tout pour le faire sortir de là et le venger - Se sert de Kazimir pour arriver à ses fins et le manipule sans vergogne
Spoiler:
La fuite pour héritage Je sais d'où je viens, d'où les miens viennent même si je n'ai pas l'impression de faire partie de ce monde parfois. Ils ont fui, avant ma naissance, ils ont fui loin de leur pays, de leurs racines, et je suis né à New-York, pas chez "nous", comme mon père disait toujours. Ça ne m'a jamais semblé chez moi. Il l'aimait son pays et ça lui a fait mal de voir la montée de Lénine et Trotski, de devoir tout quitter. Moi je m'en fiche, c'est un pays, un pays que je ne connais pas, que je n'ai jamais vu et dont je ne connais que la langue. Ma mère n'a jamais appris l'anglais, elle n'a jamais voulu faire l'effort. Et de leur fuite sont nées beaucoup d'attente. Beaucoup d'attente envers moi, le premier né, celui qui devrait redonner aux Sadovski une vraie place, celui qui devait montrer l'exemple. Est-ce que j'en ai un jour eu envie…? D'être un exemple pour les miens alors que tout ce que j'avais jusque là, c'était la fuite de mes parents…?
Les sommets pour objectif Quand on vient de rien, on devrait savoir viser juste et ne pas rêver des étoiles. Ce n'est pas parce que les étoiles étaient cachées derrière d'épaisses couches de nuage que je n'en rêvais pas, au contraire même. Je ne voulais pas finir comme mes parents, je ne voulais être celui qui fuirait, celui qui tomberait et finirait dans le caniveau, chassé de mon propre pays. Alors je bosse dur, parce que je veux pas finir avec un boulot de raté, et je sais bien que tout le monde, tous ces américains, ne me voit que comme le "russe". Votre pays est fait d'une diaspora de nationalités, réveillez-vous un peu. Mais peu importe au fond, ils peuvent me donner le surnom qu'ils veulent. Ce pays n'a jamais été le mien, même si je vous expliquais, vous ne comprendriez pas alors laissez moi devenir major de promo pendant que vous vous amusez avec les sobriquets stupides. Je veux et je vais devenir avocat, un des meilleurs, alors poussez vous de mon chemin et regardez moi briller.
Un feu qui dévore tout J'ai des problèmes. Comme tout le monde, on va me dire, mais ce n'est pas toujours simple à gérer. Faire tourner les têtes et les cœurs, c'est amusant, même si ça m'est arrivé de croiser des maris mécontents ou des épouses en pleurs. Mais je n'ai pas que ça comme problème. J'ai problèmes de jeux. De dettes. Je joue au poker et je gagne pas toujours. Là j'ai perdu. J'ai perdu une grosse somme que je ne peux pas rembourser, avocat ça paye mais vous savez comment c'est...Plus on a, plus on joue et surtout, plus on perd. J'ai perdu gros et les types à qui je dois de l'argent ne sont pas du genre à passer l'éponge comme ça, oublier et pardonner, ce n'est pas leur genre. Leur genre, ce serait plutôt de m'éclater les genoux pour m'apprendre à payer mes dettes. Pas quelque chose dont j'ai envie. Et là...Y'a ce gars, Gleb Sergueïv. Je sais qu'il pèse lourd et je dois dire que je suis surpris qu'il s'intéresse à moi. Effacer mes dettes, oublier ce qui s'est passé ici et foutre le camp à Minneapolis pour bosser pour lui en échange de l'amnistie…? Franchement, ça semble un bon deal.
Montrer patte blanche Putain la Bratva, c'est vraiment un repaire de commères. Ils causent et ils causent et ils causent...Je leur en foutrais de la Tsarine moi, bande d'incapables...Ouais, je sais, il ne faut pas se laisser avoir par les moqueries, il ne faut pas écouter ce que disent les autres. Chez les américains, on se foutait de moi parce que je suis russe. Chez les russes, on se fout de moi parce que je fais poids-plume, ramené par le frère du chef, comme la petite poule de luxe qu'il s'est payé...A force, ça pèse sur les nerfs. Alors je m'arrange pour me venger à ma façon. Je les plume, les mafieux, parce que si mes défaites à New-York m'ont appris quelque chose, c'est bien que la jouer loyalement, ça ne fait que vous enfoncer. Alors tricher aux cartes, pour les plumer, ça me semble pas si mal. Oh ça m'en recolle sur le dos des problèmes mais Gleb est là. Il est toujours là. Pour parler. Pour écouter. Pour boire un verre quand ça ne va pas et qu'un petit remontant fait du bien. Si il y a bien une personne à qui je suis loyal, en dehors de moi-même, c'est lui. Un patron qui fait ce qu'il faut. Un ami toujours là, ça fait du bien, pour une fois. Et peu à peu, ils comprennent, tous ces blaireaux. Ils comprennent que je vaux quelque chose, que je sais les défendre quand ils sont dans la merde et ça, ils l'apprécient. Ils finissent par me voir comme quelqu'un d'utile, de compétent. Ça ne les empêche pas de toujours me filer leur petit surnom ridicule, mais au moins, ils comptent sur moi quand ça merde. Et je sais que Grisha aussi. Ce vieux con ne comprend pas qu'il est déjà dans le passé, que le monde va bientôt tourner sans lui. Mais ne rien dire, ne rien faire, juste obéir, faire le dos rond et accepter. C'est le meilleur moyen d'évoluer. Et ça marche, je grimpe les échelons, je deviens important. Ils savent, tous, qu'il faut compter avec moi désormais.
L'imposteur Mentir et tromper, c'est une seconde nature. C'est autant utile dans mon métier que dans ma vie de tous les jours. Dans le lit d'une maîtresse pour jurer qu'il n'y a qu'elle. Dans les tribunaux pour défendre ces raclures qui ne méritent que la corde. Dans le bureau du patron pour lui jurer fidélité et l'admirer. Mais quand ce vieux envoie Gleb à l'ombre...Non, là c'en est trop pour moi. Dans le tribunal, c'était une vaste blague. J'ai tout tenté, j'ai tout essayé. Apitoyer le jury, réfuter les preuves irréfutables de l'accusation, mentir et tromper mon monde pour faire passer Gleb pour le pauvre gars au mauvais endroit au mauvais moment. Ça n'a servi à rien, ils avaient trop de trucs contre lui. Trop de trucs à cause de qui hein...? La police, l'accusation, ils ne pouvaient pas savoir tout ce qu'ils savaient. Im-po-ssi-ble. Y'a une enflure qui a balancé Gleb et je sais qui c'est. Son frère. A coup sûr. Pourquoi ? Parce que je sais reconnaître l'ambition quand j'en vois et partager la tête de la Bratva avec un frère...Non mieux vaut être seul, quitte à trahir ceux qui nous sont le plus proche, ceux qui sont notre famille. Suivre un type qui a pu trahir les siens, sa chair et son sang, ça me rend malade, j'ai envie de dégobiller chaque fois que je dois faire des ronds de jambe face à lui. Je prends sur moi, je me rapproche. Il veut jouer, je sais être un aussi bon vautour que lui, pas de problème. Magouiller, tromper, me rapprocher et tout faire pour sortir son frère de sa cage. C'est le plan.
Il est venu le temps... Grisha n'est plus dans le paysage. Il ne reste que le fils un peu simplet, celui qui ne devait jamais accéder au pouvoir. Je suis le serpent qui lui fera goûter la pomme de la discorde, à ce petit. J'empoisonne ses pensées, je vois bien qu'il vire casaque le garçon, il va finir par tourner le dos à celui qui l'a toujours méprisé. La ville est en quarantaine, l'échiquier est en place et il ne reste plus qu'à déplacer les pièces, une à une, jusqu'à ce que le roi tombe. Kazimir m'écoute, Kazimir boit mes mensonges comme du petit lait. Et bientôt Kazimir va sombrer. Gleb sera dehors et ce jeu sera fini avant même que Grisha ait pu riposter.
Fils des météores Les mutants...Ça ressemblait à une blague, quand je l'ai entendu la première fois. Mais je crois qu'une partie de moi voulait que ce soit vrai. Il me fallait une preuve, une vraie preuve. Et je l'ai eue. Moi-même j'en suis un. Un mutant qui se cache, qui ne dit rien, qui garde pour soi ce qu'il sait faire. Parce que c'est de cette manière que ça marchera le mieux, dans le secret, parce que personne dans mon entourage n'a besoin de savoir de quoi je suis capable. Plus que ça, ils ne doivent pas savoir, ils ne doivent pas se douter, ce ne sera qu'une manière de frapper encore plus fort quand le moment du coup de grâce sera venu. La curée n'en sera que plus savoureuse...Mais en attendant, je m'intéresse, je regarde, je participe en secret. Toutes ces causes, ça aide, ça forge des alliances improbables, même si elles ne sont que passagères et que ce ne sont que des instruments pour atteindre mon but. Je vise haut. J'ai toujours visé les étoiles. Et la vie m'a prouvé que j'avais raison de viser ainsi. Je ne connais pas d'autres manières de viser de toute façon...
Flegme qui dérange Ils n'aiment pas que je sois comme ça, je le sais bien. Un type calme, un type avec du sang-froid, ça les inquiète. On ne peut pas deviner ce qui se passe en lui, ce qui se passe dans ma tête. Est-ce que je bouillonne intérieurement ou est-ce que je m'amuse...? Ils ne peuvent pas le dire et je sais que ça leur met les nerfs en pelote. Au tribunal comme dans la Bratva. J'ai appris à me tenir, à me retenir même, à être celui qui reste droit dans l'adversité. Je viens de rien et je monte jusqu'au ciel, je ne suis pas arrivé jusque là en m'énervant et en hurlant sur le premier venu...
Homme à chat Vous n'y croirez peut-être pas mais c'est le cas. Moi j'aime les chats. Futés, rôdeurs, chasseurs, les chats sont un peu comme moi. Ils traquent, ils n'abandonnent pas et pourtant ils s'amusent. Ils jouent avec leur proie avant de porter le coup de grâce. Le mien, c'est une femelle, une petite femelle noire aux yeux bleus, qui s'appelle Yaga. Une vraie teigne, ma Yaga, elle aime personne. Personne à part moi. Elle crâche et elle griffe ceux qui passent trop près. Je l'aime beaucoup ma Yaga.
Le jeu pour faiblesse Vous le savez, j'ai des problèmes de jeu. Je peux pas m'en empêcher. J'adore jouer aux cartes, j'adore le poker, c'est mon péché mignon. Et même si je sais mentir parfaitement, je perds la tête, je deviens arrogant, trop sûr de moi et je perds tout. C'est régulier. Alors pour éviter de me faire plumer, je me suis mis à tricher. Je suis devenu doué pour cacher des cartes et pour tous les tours de passe-passe possibles. Pièces, cartes, jetons, ça ne change rien, je suis habile de mes mains et je sais parfaitement dissimuler de quoi gagner. Toujours un atout dans ma manche. Et quand je peux pas gagner, je peux toujours échanger les jetons et perdre moins que prévu...
Juger un livre à sa couverture Je déteste être négligé. On se méfie de moi parce que je suis toujours propre sur moi, toujours tiré à quatre épingles. Mais je déteste être négligé. Ne pas être bien habillé, ne pas être bien coiffé, il n'y a rien qui me défrise plus que ça. Alors je fais attention. Cheveux, ongles, barbe, je fais attention au moindre détail. Tout passe par la première impression. Au tribunal, dans les yeux et le cœur des gens, pour inspirer confiance, pour convaincre...Qu'ils se moquent, je préfère être comme je suis que d'oser sortir en jogging ou avec une chemise froissée.
Poches percées Dépenser sans compter, c'est un défaut. J'ai vu mes parents trimer pour gagner de quoi manger, parce qu'ils n'étaient plus rien, parce qu'on leur avait tout pris. Anciens nobles chassés par un système qui se voulait égalitaire. Egalitaire mon cul. Moi je ne serai pas comme ça. Je ne veux pas mendier pour un quarter. Je ne veux pas ramper pour trouver à manger. Alors maintenant que j'ai les moyens, je dépense. Appartement, restaurants, vêtements, loisirs...Je ne compte pas. Je prends ce qui me fait envie et, si besoin, je mens pour l'obtenir. Les filles adorent qu'on ne lésine pas sur les dépenses. Les garçons aussi d'ailleurs, quoi qu'ils essaient de faire croire avant d'accepter.
répertoire des liens
(f/m) PSEUDO description du lien (f/m) PSEUDO description du lien (f/m) PSEUDO description du lien (f/m) PSEUDO description du lien
les rps
nom du rp w/@"pseudo"
Invité
Invité
Sujet: Re: to the top | Mstislav :: Mer 3 Fév - 22:40
bonjour vous
alors je suis actuellement en proie à une migraine assez terrible, mais je voulais laisser ma trace par ici malgré tout ! entre membres de la mafia, on peut doit se trouver un petit quelque chose. ça fait des années que Jetjet est dans le coin, dans la "branche" de la drogue depuis le début, mais en tant que brigadier, Mst et lui ont forcément été amenés à se côtoyer. d'autant plus que Jet a été assez proche de Gleb et est une figure presque paternelle dans le paysage de Tallula. je pense en plus qu'ils ont des caractères qui peuvent s'accorder sur pas mal de points...
soooo je débarque très rapidement en privé pour creuser tout ça si ça te dit